Les techniciens de DP.R.M posent des films anti-IR contre la chaleur. Un confort garanti chez vous ou dans votre espace de travail.
Nous pensons tous que les films solaires sont de simples bouts de plastiques de peu de valeur. Il n’en est rien ! Créé par DuPont de Nemours en 1950, septième groupe chimique dans le monde, le film polyester à base de Mylar A est issu des domaines de la haute technologie et de la conquête spatiale.
D’une manière générale, le film pour vitrage offre une protection vis-à-vis du rayonnement solaire et sécurise la surface vitrée en empêchant la fragmentation du verre en cas de bris ou de casse.
Un vitrage laisse pénétrer 92% de la chaleur. Dès que les rayons du soleil frappent un vitrage, la chaleur rayonne derrière la vitre, ce qui peut être gênant. En cas de chaleur trop inconfortable, la mise en route de ventilateurs ou de climatiseurs s'avère nécessaire, ce qui entraîne une consommation énergétique.
Si vous êtes directement impacté pendant les heures chaudes, les rideaux et les stores se ferment, ce qui implique un obscurcissement des pièces. Donc un besoin de mise en route de lumière additionnelle et une surconsommation énergétique coûteuse.
Ventilation, climatisation, éclairage, sont des sources d’alourdissement du bilan carbone du bâtiment.
Le concept de l’utilisation du film en tant que protection solaire remonte aux années 1970. L’objectif initial était de lutter contre les différentiels de température dus à l’exposition des bâtiments face aux rayonnements du soleil en façade ou toiture.
Ces premiers films techniques réfléchissaient efficacement les rayons chauds du soleil en empêchant celui-ci de pénétrer dans les locaux, tout en permettant la vision vers extérieur. L’inconvénient était une faible luminosité pénétrante et l’obligation de mise en lumière.
Puis, à mesure que ces films s’amélioraient et devenaient plus populaires, il y eut une demande pour des films solaires de couleur afin de répondre à des considérations techniques et architecturales multiples. On vit ainsi des films ambrés, cuivrés, dorés, etc. Le premier choc pétrolier des années 1970 fit émerger un besoin nouveau, à savoir la réduction des pertes de chaleur vers l’extérieur.
On découvrit que le film polyester avait tendance à absorber et rediffuser les infrarouges longs plutôt que de se comporter comme un élément neutre. On développa alors dans les années 1980 de nouvelles conceptions de films afin de mettre en valeur cette propriété. Ainsi on put améliorer la conservation de la chaleur dans une pièce en hiver et inversement, conserver la fraîcheur dans la pièce en été.